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NOSTALGIE

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07:01

source Hlima Al marjia (Affir)


Ain Al marjia près de la ville d'Ahfir dans l'Oriental marocain

LAlla Hlima alias Margia : ce surnom a une référence ( margi3ia) à un groupe islamique qui n’a pas voulu prendre parti ni avec, ni contre les autres groupes qui s’entretuaient pour des causes et des affaires philosopho-religieus
es; la création ou l’éternité du Coran ;
Ce surnom voulait dire ; laisser le jugement à Dieu. (irjaa° lhoukm lillah)

1) On racontait que Hlima est une jeune orpheline de sa mère ; son père s’est remarié d’une méchante femme qui le maltraita, elle est d’origine des montagnes de Taforalt où passait ses journées à garder son troupeau ; des ovins et des bovins. Un jour une de ses vaches est entrée dans une grotte, on disait que c’était celle des Pigeons.
La jeune fille la poursuivait, mais s’est égarée dans les labyrinthes de cette grotte ténébreuse durant des mois, jusqu'à ce qu’elle a trouvé une issue tout près de Ain Aghbal.
Ce site où Hlima s’est trouvée était, le plus peuplé dans le triangle Bouhfiyer Sidi Rahmoun et Aghbal.
Déjà passé par là le roi (almalik al aswad) qui a construit la passerelle qui traverse la rivière d’Aghbal pour l’Ain, sous un grand trésor qui peut reconstruire et enrichir tous les habitants du triangle précité.
Plus haut ; aujourd’hui marabout ;

Ahmed ; un homme saint et conseillé de tout le monde dans les domaines religieux; il était aussi forgeron.
Il s’est arrivé qu’un jour le triangle fût attaqué par un peuple des athées.
Alors que les moudjahiddines venaient nombreux réparer et aiguiser leurs sabres et ajuster les plaques de fer pour leurs chevaux ;
Pour ce travail Ahmed Al Haddad, par la baraka d’allah n’utilisait ni feu ni marteau ni enclume ; il prit le fer entre ses mains et lisait quelques paroles et dictait quelques talismans ; la chose se réparait si vite…

La jeune fille de 16 ans est sortie la tête chenue, telle une vielle femme de 60 ans…aujourd’hui sa tombe est en face de la source de la rivière qui a pris son nom. Al Margia.
Aujourd’hui toutes les filles censées victimes de l’autorité de leurs parents ou de la société, ou celles qui n’ont pas de chance pour rencontrer leurs cavaliers de rêves viennent consulter Lalla Hlima al Margia, et se laver de l’eau pure de la source de Aghbal.
Bouali Abdelkrim


07:45

Ain Bni Mathar - Parc Ras el-Ain

Ain Bni Mathar - Parc Ras el-Ain


Nappe d'Ain Bni Mathar:

Les Hauts Plateaux septentrionaux recèlent d'importantes réserves en eau. Il s’agit de la nappe d’Aïn Béni Mathar contenue dans des calcaires dolomitiques du Jurassique et mise en charge sous un recouvrement généralement argilo-marneux d’âge mio-plio-quaternaire (Stretta 1952, Mediouni 1969, Wardi 1997, Abderbi & Khattach 2011)
Elle est limitée au nord par les horsts de Jerada, à l’ouest par les deux dômes de Mekam et Rekkam, au sud par les rides de Trarit . 
Ras el ain ain bni mathar
source Ras-El-Ain
Étant donné que cette nappe est la seule ressource en eau d’une région connue par son climat aride, elle est de plus en plus sollicitée par forages pour l’alimentation en eau potable, l’irrigation, l’industrie et le pastoralisme. Compte tenu des réserves importantes liées à la grande étendue de la nappe qui est de l’ordre de 6500 km² (Wardi 1997), sa surexploitation n'entraîne qu'une baisse annuelle (quelques centimètres), mais constante de son niveau piézométrique.
Ce bilan hydraulique négatif de la nappe qui en découle constitue un problème qui n’est pas encore résolu (PDAIRE 2010). La gestion de cette nappe nécessite une bonne connaissance de l’aquifère, notamment sa géométrie. La construction d'un modèle géologique 3D à partir de données de terrain et du sous-sol peut être d’un apport capital pour la compréhension de l'organisation spatiale des structures du sous-sol. Cet article présente un modèle géologique 3D du bassin d’Aïn Béni Mathar faisant intégrer l’ensemble des données géologiques fournies par les forages profonds et les cartes géologiques. 
07:34

documentaire: Algérie pastorale 1954

Aussi loin que l'on remonte dans le temps, on constate la présence d'ovins en Algérie. Une lampe en terre-cuite de l'époque punique en forme de mouton a été retrouvée dans les ruines de Tipasa. En effet, cet animal qui offre sa laine, son lait et sa chair est un élément de base de l'Algérie.